Comme annoncé précédemment, je donne des cours de dessin de manga à la MJC Savouret de la ville d’Epinal.
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Le prochain aura lieu ce samedi (il faut réserver auprès de la MJC mais le cours est complet).
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas donné ce mois-ci d’ateliers nomades de dessin de modèles vivants, mais le prochain aura lieu le 1 avril 2023 !
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Quelques photos de samedi dernier :
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J’organise un atelier MANGA à la MJC Savouret (Epinal, Vosges) le 25 mars 2023.
Cet atelier est réservé aux adolescents à partir de 10 ans.
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Plus d’infos sur le site de la MJC.
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Tu veux apprendre à dessiner un personnage de manga, humain habillé.
Crayon et « encrage » noir et blanc
Rejoins nous le samedi 25 mars de 9h30 à 11h30 à la MJC Savouret
Matériel à prévoir :
Bloc de papier blanc (sans ligne) A4, 80, 90 ou 120g
Crayon de papier (préférence HB, 2B ou plus )
Gomme
Support de dessin (type carton pour poser sa feuille)
Stylos feutres noirs
Sur réservation, places limitées : par téléphone au 03.29.82.12.59 ou par mail à mjc.epinal@wanadoo.fr
Je suis en train de mettre en place différents ateliers, dont un atelier de peinture et dessin de modèle vivant.
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Si vous êtes modèle ou artiste (débutant ou professionnel) et que vous êtes intéressés, n’hésitez pas à me contacter. Le lieu est dans les Vosges, aux Voivres ou à Epinal. J’initie les débutants aux bases du dessin et laisse tranquille ceux qui n’aiment pas qu’on regarde leur dessin (je sais ce que c’est). On n’est pas dans le jugement ou la compétition mais dans la découverte ou la pratique d’une activité artistique.
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Idéalement, j’aimerai donner un côté Dr Sketchy aux ateliers, avec des costumes (si j’en dispose), de la musique, des petits gâteaux et des boissons (thé, café, etc…) pour un moment convivial. J’ai besoin de d’abord réunir suffisamment de participants pour pouvoir proposer une ou des dates. Il n’y a donc pas de date pour le moment.
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Je recherche des modèles pour poser lors de séances de peinture/dessin (Vosges).
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La priorité est de savoir tenir une pose sans bouger plus de 20 minutes. Après si la personne est belle et élégante, c’est mieux; avec de la grâce, un port noble et du maintien c’est idéal. (Homme ou femme de 18 à 50 ans).
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Pour le moment je ne recherche pas de nu, mais il faut savoir accepter des regards poser sur vous. Les photos en références sont des exemples de physique et de style idéals.
Pour ceux qui ne me suivent pas sur les réseaux sociaux, j’expose en ce moment trois illustrations à la galerie du Bailli d’Epinal.
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L’exposition a commencé la semaine dernière et se poursuit jusque mercredi 14 mars 2018. Je serai présente demain mardi et mercredi de 13h30 à 18h pour celles et ceux qui aimeraient me rencontrer ou me poser des questions.
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J’expose pour la première fois mon aquarelle « Mars », en hommage au dieu de la guerre chez les romains (et Arès chez les grecs). Je prépare d’ailleurs une vidéo pour vous en parler plus en détails.
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J’expose cette aquarelle « Escape » que j’avais déjà exposé aux Imaginales de 2017.
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J’expose pour la première fois ma dernière peinture terminée « blue bird ».
Voici une de mes illustrations préférées, réalisée en 2016. Il s’agit d’une aquarelle sur papier 300 grammes A3 représentant un des visages d’une ancienne divinité aux multiples noms que j’ai appelé ici Cybèle. Aujourd’hui, avec le recul et mes projets futurs, je peux dire qu’elle sera l’un des thèmes principal de mon travail.
Aquarelle « Cybele »
J’ai ici commencé le dessin au crayon. J’avais d’abord construit le dessin en positionnant le vase, les fleurs et les dagues en bas (cela forme une étoile à cinq branches). J’ai filmé le processus de cette illustration dans la video plus bas.
J’ai bien aimé ajouté des paillettes rouges sous les yeux comme un maquillage de soirée.
Le visage étant mis en couleur, j’ai ensuite voulu un fond, je l’ai voulu à la fois texturé et immatériel tout en improvisant pour me « laisser aller » à mon intuition.
On peut voir ici mon bureau, toujours plein de choses. (Je ne fume pas mais utilise les boîtiers de cigarillos de mon copain pour y garder des choses, du gros sel ici, cela aide à texturer l’aquarelle notamment).
Vous saurez tout, ou presque grâce à cette vidéo !
J’ai superposé des formes géométriques, notamment le cube qui revient souvent, et également attribué selon mon histoire à Cybele. J’ai également dessiné des sortes de zig zag blancs suite à une sortie astrale que j’avais récemment faite et qui m’avait beaucoup marqué. Je ne l’avais pas faite seule, j’ai clairement sentie qu’on me tenait la main, et j’ai traversé des sortes de vortex avec des parois tapissées de ce genre de graphisme très optic art des années 60, tout en entendant fortement les ondes radios.
J’ai dessiné quelques symboles en vert, des cubes, la lune, des chouettes stylisés et même des appareils de castration utilisés lors des rituels pour Cybèle.
Aujourd’hui je vous parle d’une de mes illustrations préférée : Little piggy.
Il s’agit d’une aquarelle sur papier 300gr format A3.
Elle représente une jeune fille dans un style lolita avec des cheveux verts coiffés de tresses et d’une couronne de cristal. Elle tient dans ses bras un petit cochon rose. Le fond est décoratif avec des éléments abstraits à la fois rayonnant et répétitifs. On y retrouve de nouveaux mes fameux cubes qui semblent voler autour de cercles lumineux. On peut voir comment mon obsession des motifs intègre ce dessin.
Pour certains le sujet peut sembler incongru, comment peut on avoir des sentiments pour un animal qui n’est autre qu’un morceau de viande ? Mais pour moi, il est naturel de ressentir des sentiments envers des êtres vivants et même non vivants (vu que je ressens des sentiments devant des oeuvres d’art). Le cochon n’est pas forcément un symbole de « cochonneries » sales et dégoûtantes.
Je dessine beaucoup de jeunes filles avec des animaux, je ne sais pas vraiment pourquoi pour tout dire, mais il y a quelque chose de rassurant pour moi à représenter cette connivence mêlée d’affection.
Voici le processus de réalisation de ce dessin :
Les premières couleurs à l’aquarelle.
J’ai dessiné le fond à part, pour le préparer du mieux que je pouvais.
Avec les répétitions et les motifs, je me suis aidée d’un calque pour reporter le fond sur le papier.
J’ai utilisé de l’encre dorée pour les épées du fond.
Cette illustration a été exposé pendant 9 mois dans le salon de thé « Nulle Part Ailleurs » d’Epinal.
Il faut également exposé à la galerie du Bailli, le 19 au 26 novembre 2016.
Cette illustration est disponible en format carte postale, n’hésitez pas à m’écrire si elle vous intéresse.
Et voici une video me montrant colorer cette illustration :
Avant les geeks étaient une minorité, une sorte de contre culture, maintenant c’est une étiquette tendance et « cool » dans tout ce qu’il y a de banal et bourgeois.
Réalisé à l’aquarelle sur format A3.
vidéo time lapse :
J’ai également réalisé la musique avec un logiciel de « samples ».
La période de décembre m’avait inspiré un fond composé de couronnes de fleurs, de petits chevaux, sucettes et gâteaux pains d’épices en forme de bonhomme.
Il m’a fallu environ 7h pour réaliser cette illustration.
Je travaille de plus en plus le fond de façon décorative pour faire ressortir mes personnages :
J’encre souvent avec ma plume de corbeau.
Avant de « dessiner au propre », je fais plusieurs recherches de dessins et de compositions sur d’autres papiers, dans des formats « moins impressionnants ».
J’utilise l’aquarelle en couches, comme avec la peinture à l’huile. Les « puristes » peuvent donc me faire mille critiques, ça m’est égal du moment que le résultat me plait.
Le cadre rouge sombre s’inspire des tarots de Marseille, comme les tatouages du personnage.
Je me suis inspirée d’une personne dans une marre menaçante.
La nature m’inspire beaucoup notamment une petite marre près de chez moi à qui je rends visite quelque fois. Il semble y voler quelques créatures invisibles et cela donne naissance à des herbes hautes, des feuillages et des fleurs harmonieusement mis ensemble.
Je regarde l’environnement aussi avec des yeux de pattern designer, je chasse le motif, le dissèque et m’en inspire ouvertement. Rien de mieux qu’une balade pour voir toutes les textures, les matières et les couleurs nous donner envie de les imiter.
Voici donc quelques photos de la marre, qui inspire fortement pour des motifs camouflages.
Voici des étapes du dessin.
J’ai filmé un court instant du dessin au pinceau et à l’encre :
Samedi 20 août 2016 avait lieu ma première participation à l’événement « l’été des artistes », sur la place des Vosges d’Epinal.
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Moi et mon stand.
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C’est l’association Pigment’T qui organise chaque été un rendez vous sur cette place emblématique de la vieille ville tous les samedis de juillet et août.
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J’aime beaucoup le charme de cette place entourée d’anciens bâtiments comme la Galerie du Bailli de style renaissance (XVIIème s.) classée monument historique ou encore dans un style « arts nouveaux » la pharmacie conçue par l’architecte François Clasquin en 1904 qui a aussi créé le marché couvert, également classée. Si vous êtes de passage dans les Vosges et êtes amateur de patrimoine, n’hésitez pas à vous poser à la terrasse de la Brasserie du Bailli ou de la Brasserie du commerce ou encore manger des crêpes (bretonnes) pour admirer cette place.
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Nous étions plusieurs artistes et artisans d’art à exposer dans des stands. Voici le mien.
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On pouvait voir mes dernières peintures à l’huile, ainsi qu’une gouache, des estampes de gravures et autres produits dérivés (cartes postales, miroirs, badges,…).
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J’avais commencé à dessiner la rue pour une aquarelle, à l’instar des « peintres dans la rue » de Bourbonne les Bains.
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Il y avait également des photos de Laurent Braun à côté de ma gouache « Esturgeon » et de mes travaux de Fiber Art « third eye » et « Kybele« .
A l’occasion du Salon de Peintures et de Sculptures de Bourbonne les Bains s’est déroulé un événement permettant de profiter de la ville. Des artistes étaient invités à peindre et sculpter dans la rue. C’était une première pour moi et ça m’a enlevé les quelques appréhensions que j’avais de dessiner devant des gens.
Lors de ma précédente visite à Bourbonne les Bains, j’avais remarqué un bâtiment ancien, à moitié abandonné qui m’interpellait. Son architecture début de siècle était tout à fait attirante et son aura quelques peu mystérieuse adossée à la forêt ajoutait du cachet.
Ce fut donc ce bâtiment que je voulu peindre et je m’installa de manière à avoir un encadrement avec la fontaine et les arbres.
Sur la place, entourée de fontaine devant l’hotel de ville étaient mises à disposition de quoi peindre en toute quiétude.
Voici mon dessin au crayon. Je n’ai pas l’habitude de dessiner de l’architecture du coup cela était un exercice intéressant car je désire de plus en plus inclure des fonds et des ambiances à mes personnages.
Les couleurs à l’aquarelle avec ma nouvelle palette de Sennelier.
Petite pause à l’endroit du déjeuner. J’aimais beaucoup les grandes plantes vertes, très tendance, ainsi que cet escalier massif en bois sombre assorti à une ancienne mode au tapis vert et aux murs de briques.
J’ai dessiné des contours au stylo plume. Bien des aquarellistes diraient que ça ne se fait pas.
Je partageais mon stand avec Marie Thérèse, une peintre de ma ville qui me conseille souvent pour mes peintures.
Ici se trouvait un petit autel en l’honneur de la « Vierge des eaux ». J’ai déjà expliqué que Bourbonne les Bains est une ville thermale, dont le nom vient du dieu des eaux celte Borvo. Il est souvent accompagné de sa compagne Damona, déesse des eaux. C’est forcément une figure qui m’interpelle. L’autel est probablement une sorte de syncrétisme de l’histoire du lieu.
A la fin de la journée, chaque artiste était invité à présenter ses oeuvres au Centre Borvo.
J’en profite pour partager d’autres endroits de la ville (prise le jour du vernissage). J’aime beaucoup le charme des petites villes françaises qui gardent la trace d’une certaine histoire.
Une autre vue du bâtiment que j’ai dessiné.
Une ancienne fontaine avec une représentation de Damona.
J’écoute aux murs. (A ce moment là j’avais vraiment l’impression qu’il y avait des présences mais je n’ai pas entendu ce qu’elles racontaient).
Comme son nom l’indique, Bourbonne les Bains est une ville thermale. Située en Haute Marne, elle offre un cadre idéal pour les curistes et autres amateurs de jeux d’argents. Je dois avouer que j’ai toujours rêvé d’avoir des soins d’hydrothérapie.
La première fois où je me suis rendue à Bourbonne les Bains, c’était pour y danser avec une troupe de danse folklorique.
Il est vrai que la moyenne d’âge est plutôt élevée, mais pour ceux qui apprécient le calme et la tranquillité c’est plutôt un point positif. Plus je vieillis plus je préfère passer du temps avec des personnes plus âgées, je ne me retrouve pas dans les générations plus jeunes (ou alors les teenagers), bien que je me sente une éternelle enfant.
Bourbonne organise son salon de peinture et de sculpture depuis plus de quarante ans, c’est une ville qui semble très active culturellement l’été (je n’y suis pas allée l’hiver). Il y a régulièrement des spectacles, des animations et les artistes et intervenants sont vraiment bien accueillis autant par l’organisation que la gentillesse. C’est un des aspects qui compte le plus pour moi. J’ai beaucoup de mal à travailler avec des personnes brouillonnes, qui ne respectent pas les délais où ne sont pas précises ou carrées dans leurs explications. Malheureusement ces gens là sont rares et la vie demande une adaptation éternelle. Si cela ne tenait qu’à moi, je ne ferais que dessiner et observer, apprendre et je ne m’occuperai pas de la communication et de la gestion des événements qui implique une logistique extérieure et parfois hasardeuse. Ou je ne m’entretiendrai qu’avec des gens professionnels dans leur attitude et leurs relations.
La salon se tient à l’office du Tourisme de la ville, un très bel espace : le Centre Borvo, du nom du dieu celte des sources dont on retrouve le nom dans celui de la ville. J’aime beaucoup ces traces païennes dans une ville. On connait si peu de choses des celtes et des gaulois malheureusement, pourtant leurs cultes et ce qui en découle sont encore présents.
Quand on y réfléchit, le fait de se faire guérir par des eaux relève de la magie ou de la sorcellerie pour les croyants monothéistes, pourtant le fait qu’on y soit habitué n’est plus un problème. Les établissements thermaux prennent le nom de la déesse comparse de Borvo, Damona. Une petite chapelle de la « vierge des eaux » est également présente, probablement une récupération chrétienne de Damona. On la prie et on lui demande des miracles, des guérisons et est apparemment bien appréciée.
J’ai également présenté un dessin au stylo plume de 2011 de la série « fille – lys ». J’aime beaucoup celui ci, il marque une période où je travaillais sur le trait et les points en noir et blanc. Le fait de voir plein de gens s’approprier ce style m’a fait vouloir expérimenter dans de nouvelles directions, j’aime prendre des risques graphiques et tester divers techniques et matériaux plutôt que de faire toujours la même recette. Ce n’est pas très commercial ou bourgeois mais c’est selon moi cela être un créatif ou un artiste. J’ai créé des miroirs de poche roses avec ce dessin. Vous pouvez m’envoyez un mail si cela vous intéresse de vous en procurer.
Cette aquarelle est assez ancienne mais je l’expose pour la première fois. Il s’agit en fait du personnage du film Nuit Noire.
Enfin voici une aquarelle réalisée l’automne dernier dans les couleurs de cette saison.
J’ai filmé le vernissage, suivez moi pour découvrir le lieu :
J’ai fait beaucoup de photos de la ville, mais je crois que j’en ai mis déjà pas mal dans ce post, du coup ce sera pour une prochaine note.
Bonjour, comme je l’ai déjà mentionné j’ai fait une exposition dans un endroit assez incongru mais non dénué de charme pour autant.
J’ai exposé dans le marché couvert d’Epinal avec quatre ou cinq autres artistes locaux.
L’événement qui accueillait cette exposition était la « Fashion Night », une des nombreuses initiatives de la ville pour animer le centre ville et les commerces jusque minuit. Ce soir là, la météo n’était pas au rendez vous, mais l’exposition, qui s’est déroulée du 3 au 11 juin 2016 s’est bien passée. Le marché est ouvert chaque jour sauf les dimanches et lundis et accueille les nombreuses personnes qui ont su garder un certain style de vie (opposé au tout industriel) au milieu des étals et des petits bistrots gastronomiques.
Le marché couvert est une construction de 1895 par François Clasquin dans le style du pavillon Baltar et rénové en 2007. C’est une époque architecturale et stylistique que j’affectionne assez et je suis contente de pouvoir me balader dans les rues d’Epinal et de voir quelques vestiges de la beauté d’antan. C’est encore plus présent à Nancy qui n’est pas très loin, ville de l’art nouveau.
Sur cette ancienne carte postale, on voit les rails de tramways de l’époque, qui n’existe plus.
marché couvert Epinal
L’intérieur garde également les structures métalliques et aérées des halles de cette époque et de celle de la Tour Eiffel. Même si le style est devenu beaucoup plus minimaliste par la suite, on trouve ici encore quelques décorations qui donne tout le charme de ce style. Je suis contente d’avoir pu étudier cela pendant mes années d’études d’arts appliqués.
Cette belle architecture est l’écrin qui renferme une des choses qui m’apporte le plus de plaisir dans la vie : la nourriture. J’aime beaucoup rêver devant la variété, les couleurs et les odeurs de ce qu’offre un marché bourgeois de province.
Pour le choix de mes illustrations, je me suis bien sur laissée porter par le thème, qui n’est qu’un thème majeure et perpétuelle pour moi : l’art et la mode.
J’ai privilégié mes dessins de mode, qui sont peut être des illustrations que le grand public n’a pas toujours l’habitude de voir, surtout au milieu des choux et des carottes.
J’ai exposé des originaux (Signe des mains) et imprimé sur grands formats (1m x 60 cm) deux autres illustrations réalisées cette année.
Illustration aux feutres : walk man for sitting girl.
J’ai imprimé sur format A3 une composition réalisée il y a plusieurs années d’une collection Louis Vuitton réalisé à l’aquarelle, au stylo et au crayon.
Et J’ai présenté une aquarelle que j’ai réalisé cette année de la collection Chanel printemps été 2016, avec notamment Kendall Jenner à droite.
J’ai également présenté ma peinture « little horse » présentée récemment.
Parfois, on organise des rendez vous pour trouver des expositions, négocier des dates, trouver des arrangements et expliquer son travail et parfois les occasions se présentent toutes seules.
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Petite dédicace à mon ami Thierry et son goût à préférer boire de l’alcool à du thé.
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C’était le cas pour l’exposition au Salon de thé Nulle Part Ailleurs et ce fut aussi le cas pour cette exposition au 4 bar. Cela a fait qu’elles se sont déroulées en même temps, ce n’était pas souhaité, mais après tout pourquoi pas.
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Pour cette exposition, j’ai choisi de montrer un ancien dessin en noir et blanc car il avait une atmosphère cadrant mieux avec le papier peint (que j’aimais évidemment). J’aime le dessin à l’encre représentant d’anciens pistolet dans un goût un peu oldschool et rock n’ roll, ce qui collait à un bar. Je présente également ma grande aquarelle avec les serpents.
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Je propose mon aquarelle représentant une femme blonde dans des tons un peu « trash » (selon les propos de quelqu’un). Ainsi qu’une impression A3 de deadbird pour montrer également ma production plus « colorée, florale et féminine »
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L’exposition a débuté le 7 mai et devait se finir il y a quelques jours mais est renouvelée jusque date indéterminée.