Dans une semaine je présente au sein d’une exposition collective quelques travaux réalisés récemment.
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14 Quartier de la Magdeleine
Dans une semaine je présente au sein d’une exposition collective quelques travaux réalisés récemment.
14 Quartier de la Magdeleine
Nous avons de très bons retours, notamment grâce à un bel article dans la presse régionale Vosges Matin paru mardi 26 mai.Je suis très contente de cet article, le journaliste a su comprendre et retranscrire nos influences et axes de travail.
J’ai enfin pu exposer au public ma peinture acrylique « Lux Me », une peinture réalisée en 2006, s’inspirant de la déesse indienne Laksmi.
Petite peinture à l’huile « concentration ».
Photographies de Laurent Braun :
Autoportrait.
Salle de restauration :
Ses photos sont composées d’un auto portrait et de portraits plus fantomatiques en noir et blanc. Et pour couronner le tout, je sers de modèle à ses photographies.
PS : WordPress que j’aime beaucoup me fait des problèmes de mises en page au niveau des sauts de ligne depuis quelques temps, c’est assez agaçant surtout que rien ne semble vouloir réparer ce bug.
Comme je vous l’ai déjà un peu parlé, j’ai la chance de participer aux expositions des lieux partenaires du Festival de littérature des mondes fantastiques Les Imaginales d’Epinal.
C’est donc avec un grand plaisir que j’ai pu sélectionner quelques travaux à présenter dans l’hôtel Kyriad trois étoiles face à la gare SNCF.
Je vous présente dans une première partie mes travaux sur les signes du zodiaque. J’ai utilisé les grandes vitres de la salle de restauration pour en faire des vitrines et ai décidé de produire des grands formats d’un travail réalisé il y a presque un an.
J’avais déjà exposé un format 60x40cm du cadran explicatif des signes d’astrologie au Carabas l’an dernier. J’ai pu ajouter deux des douze signes, c’est à dire le Cancer et le Gémeaux.
Mon projet est de faire une futur exposition avec les douze signes en grand format (mais aussi en format carte postale pour les intéressés). Mais pour cette exposition, j’ai voulu présenter un échantillon de mon travail comprenant mes dernières aquarelles et peintures à huile (voir prochainement la deuxième partie).
Avant l’accrochage :
Quelques signes du zodiaque :
Voici un motif textile réalisé à partir des personnages et des symboles du zodiaque, je n’ai pas encore pris le temps d’en coudre quelque chose, mais c’est dans mes projets, pourquoi pas une tenue lolita en référence avec la coupe XIXème des paysannes des Vosges ?
Avec mes autres motifs textiles disponible sur Spoonflower :
Cela va bientôt faire un an que j’ai quitté la région parisienne pour les Vosges. La nature continue de plus en plus à m’inspirer et c’est un bonheur de pouvoir arpenter quelques sentiers pédestres pour se ressourcer. Ce besoin que j’avais depuis tant d’années mais que je ne savais formuler en moi tellement j’étais fermée sur la région parisienne, je suis heureuse d’avoir pu y répondre.
Récemment j’ai repris la peinture à l’huile, je vous la partagerai ici bientôt, mais j’étais si pressée de la montrer qu’on peut déjà la voir sur ma page Facebook. J’ai toujours autant de plaisir à dessiner et peindre les visages, mais j’ai voulu inclure un paysage en arrière plan et je me suis sentie moins confiante. J’ai du réapprendre à peindre des montagnes, qui symboliquement représentent la nature dans sa force massive et sa persistance à travers les époques. Je suis allée « étudier » des anciennes peintures au musée et j’ai tentée de capter « l’air » de la nature autour de moi.
J’ai eu la chance de passer quelques jours à l’étranger le mois dernier et j’ai pu admirer les montagnes de la Suisse. J’adore le sentiment de modestie face à l’intensité d’un paysage aussi monumental, un sentiment de vulnérabilité comme le vertige que l’on peut ressentir devant autant d’espace qu’on ne peut contrôler. Une modestie qui nous ramène à la question de savoir qui on est, pourquoi on est ici, et pour moi, quelque chose qui me ramène encore et toujours vers la création, la sensibilité et l’émotion.
Le lac Léman et les Alpes.
J’ai pris beaucoup de photos pour les utiliser en peinture, étudier les textures, la richesse des couleurs et j’ai aussi appris de nouvelles fonctions sur photoshop pour réussir à rendre un paysage, ce qui est assez difficile.
Moi mangeant un sandwich devant les Alpes.
J’ai réalisé deux cabas (ou tote bag, bonjour la francophonie) uniques aux blasons de mon projet multidisciplinaire « Holy Noire » que je partage avec Laurent B., j’en ai déjà parlé, et j’en reparlerai encore plus en détail si ça vous intéresse.
Chaque jour je suis heureuse de pouvoir réfléchir aux liens entre arts appliqués (le stylisme, les accessoires) et les arts (quelque chose de plus « conceptuel » voire abstrait, transcendantal), et plus spécifiquement l’idée de pouvoir mettre en scène les objets de rituels de vie artistique ou magique. « Art is magic ». J’ai un rapport quasi fétichiste aux objets, j’aime les regarder de façon quasi microscopique ou en les mettant en rapport avec d’autres couleurs ou matières. Si j’ai un coup de déprime, de beaux objets peuvent me redonner le moral, je ne suis pas spécifiquement dans la possession donc les musées font offices de remèdes plus que d’inspirations. Je suis complètement d’accord avec William Morris sur ses positions « sociales » quant aux beaux objets réalisés à la main.
J’aime le nom qu’évoque le « cabas ». J’en ai d’ailleurs acheté un « classique » au motif tartan (à l’époque où j’en portais beaucoup), celui qui peut rappeler le « sac de mamie qui achète ses légumes au marché ». Oui tout comme Vivienne Westwood, la mamie (pas elle) est pour moi la « it girl » éternelle. Ce sac possède une bande de largeur pour le rendre plus pratique, contrairement au « tote bag » basic qui n’a pas « d’épaisseur ».
J’ai appliqué le motif au pochoir et j’ai ajouté une étiquette personnelle au dos.
découpe du motif
application du motif sur le tissu (en protégeant la surface de travail par du plastique ou du journal).
application de la peinture pour tissu au pinceau
retouche du motif au pinceau et séchage
couture des hanses du sac
surpiqure de la largeur du sac
*
Les photos ont été prises par Laurent B.
J’ai réalisé deux cabas (ou tote bag, bonjour la francophonie) uniques aux blasons de mon projet multidisciplinaire « Holy Noire » que je partage avec Laurent B., j’en ai déjà parlé, et j’en reparlerai encore plus en détail si ça vous intéresse.
Chaque jour je suis heureuse de pouvoir réfléchir aux liens entre arts appliqués (le stylisme, les accessoires) et les arts (quelque chose de plus « conceptuel » voire abstrait, transcendantal), et plus spécifiquement l’idée de pouvoir mettre en scène les objets de rituels de vie artistique ou magique. « Art is magic ». J’ai un rapport quasi fétichiste aux objets, j’aime les regarder de façon quasi microscopique ou en les mettant en rapport avec d’autres couleurs ou matières. Si j’ai un coup de déprime, de beaux objets peuvent me redonner le moral, je ne suis pas spécifiquement dans la possession donc les musées font offices de remèdes plus que d’inspirations. Je suis complètement d’accord avec William Morris sur ses positions « sociales » quant aux beaux objets réalisés à la main.
J’aime le nom qu’évoque le « cabas ». J’en ai d’ailleurs acheté un « classique » au motif tartan (à l’époque où j’en portais beaucoup), celui qui peut rappeler le « sac de mamie qui achète ses légumes au marché ». Oui tout comme Vivienne Westwood, la mamie (pas elle) est pour moi la « it girl » éternelle. Ce sac possède une bande de largeur pour le rendre plus pratique, contrairement au « tote bag » basic qui n’a pas « d’épaisseur ».
J’ai appliqué le motif au pochoir et j’ai ajouté une étiquette personnelle au dos.
découpe du motif
application du motif sur le tissu (en protégeant la surface de travail par du plastique ou du journal).
application de la peinture pour tissu au pinceau
retouche du motif au pinceau et séchage
couture des hanses du sac
surpiqure de la largeur du sac
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Les photos ont été prises par Laurent B.
J’aime beaucoup les couleurs chaudes et fauves et l’atmosphère romantique et orientaliste de ces photographies, les matières brillantes, dorées, de bois d’acajou, de tissus brochés, de motifs léopard et de fleurs, même si je ne suis pas certaine des poses faussement détendues et lascives des modèles. Cela me fait penser à Saint Laurent des années 70, au parfum Opium que j’adore, aux décors de Biba, à des peintures de Delacroix. Ce ne sont pas les seules photos qui traitent de cette atmosphère, mais c’est excitant de voir que cela revient au goût du jour pour l’hiver 2012.
1977 pour celles qui s’adonnent au glamour.
Jerry Hall photographiée par Helmut Newton à l’occasion du lancement du parfum.